Comme pour tout végétal,
l’impact des graminées à
gazon sur l’environnement
est important et multiple : dépoussiérage
et rafraîchissement de l’air,
capture du gaz carbonique et libération
d’oxygène. Par ailleurs, son
organisation en tapis végétal et son
utilisation comme pelouse sur des
surfaces importantes lui permettent
également d’être efficace pour filtrer
l’eau ou amortir les bruits.
Les caractéristiques biologiques
et physiologiques des graminées à
gazon en font des plantes particulières
et intéressantes pour la préservation
de l’environnement. Leur
partie aérienne composée essentiellement
de feuilles, organes-clef pour
la captation du gaz carbonique et la
libération d’oxygène, a la particularité
de rester verte et fonctionnelle
toute l’année contrairement aux arbres,
par exemple, qui perdent leurs
feuilles en automne et en hiver.
Les pelouses composées de centaines
de milliers de ces plantes démultiplient
cet intérêt environnemental.
En effet, 1 m2 de pelouse présente
une surface foliaire développée d’au moins 2 m2, soit à peine 2 fois moins
que celle d’une forêt.